Toutes Les Femmes SAppellent Marie : Un Nouveau Couple Se Crée
Dans le couloir devant la porte de Marie Hélène je propose aux filles de les laisser seules et que jaille dormir dans la chambre de Nadia.
- « Pas question ! Dit celle-ci. Reste avec nous. Tu profiteras du spectacle et sil te reste un peu dénergie après ta descente à la cave, tu toccuperas de nous. Nest pas ma chérie ? »
Elles mentraînent dans la chambre. Je veux pour prendre une douche car je garde lodeur de Floriane sur moi mais les femmes veulent sentir le foutre de cette femelle !
On se déshabille. Les deux salopes viennent mentourer et me renifler, me lécher !
« Cette pute sent bon ! Je me la ferais bien. Sexclame Nadia.
Tu en as déjà marre de moi ? Dit Marie en riant.
Non ! Bien sûr que non ma chérie ! Mais ce qui mexcite cest que cette salope ne sest presque pas cachée pour baiser avec Jean alors que son mari te draguait comme un fou. Ce salaud de Jean en a bien profité avec raison et de sentir le parfum intime de cette femme
. Mmmhhh ! Viens ma chérie ! Viens me caresser ! »
Le deux femmes senlacent et sembrassent. Je me colle derrière Marie et avec Nadia nous nous occupons delle. Je lembrasse dans le cou alors que ma bite tente de sinsinuer entre ses fesses. Nadia se baisse, relève une jambe de Marie et lui lèche le clito. Jempaume alors les seins ou plutôt les tétons de cette dernière qui très vite se répand dans la bouche de la goule qui avale tout. Sans sêtre concertés, nous alternons les caresses, ne laissant aucun répit à notre « proie ».
Elle ne tient plus sur ses jambes après de multiples jouissances. Nous la portons sur le lit où elle sétale de tout son long sur le dos les jambes pendantes au bord. Nadia enjambe la figure de Marie et pose sa chatte sur la bouche de la femelle. Elle me demande alors de baiser notre amante.
A genoux au pied du lit, jécarte et relève les longues jambes, les pose sur mes épaules et guide ma queue dans la chatte trempée.
Nadia se penche vers moi et membrasse. Ses cris de jouissance se perdant dans mes lèvres. Elle tend également sa main et branle le clitoris de Marie Hélène qui se cambre sous le plaisir sans arrêter de lécher la chatte de notre nouvelle amie. Les deux femmes sont déchaînées. Jatt les chevilles de Marie et écarte ses jambes pour la pénétrer encore plus. Nadia ne lâche pas son clito et nous assistons alors au spectacle dune femme fontaine quand Marie expédie un jet puissant de cyprine. Cest une première pour elle, nous dira-telle plus tard. Le contexte la totalement libérée et son corps sest exprimé sans retenue.
Je me retire alors et Nadia se penche sur elle et tête bêche lèche le jus abondant de sa maîtresse. Le spectacle est très sensuel ! Voir deux femmes de gouiner, cest superbe et je ne débande pas en les admirant.
Enfin, terrassée par un ultime orgasme, Nadia se laisse aller et se couche à côté du corps de Marie, couverte de transpiration et de sa jouissance. Son visage est barbouillé du jus de Marie Hélène qui a aussi abondamment joui.
Nous reposons sur la couche trempée pour reprendre nos esprits. Nadia intervient alors
« Dis donc ma chérie tu as pris un pied denfer ! Cest la bite de Jean qui te fait cet effet ?
Oh oui jai adoré, mais tes doigts sur mon clito et ton jus mont excitée à mort ! Mais cest vrai que de le sentir en moi, cest génial !
Tu me le prêterais ? Jai envie de sentir une bite dans ma chatte !
Bien sûr ! Mais si tu veux, jai aussi un gode ceinture et jaimerais te prendre avec !
Vous êtes insatiables les filles ! Vu que je nai pas joui je peux encore thonorer ma chère. Toi Marie, va-téquiper ! »
Nadia se retourne et en levrette me présente ses fesses. Son corps pulpeux et bronzé est magnifique. Quand je la pénètre, jai limpression quun étau serre ma bite. Marie revient alors équipée dun gode ceinture attaché à sa taille.
« Regarde ce salaud ! Lance Marie. Il me suce la bite ce petit pédé !
Cest pour te préparer à baiser notre amie.
Cest ça oui ! Tu naurais pas envie de te faire baiser plutôt ?
Pourquoi pas ?
Jy crois pas ! tu aimes te faire enculer ?
Oui ! Mais attend ! Je vais prendre Nadia à en missionnaire et tu viendras ensuite. Prépare-moi avant. Tu nas pas du gel ?
Oui mon petit pédé ! Je vais tenculer avec plaisir.
Nadia se retourne sur le dos, toute heureuse de voir cela. Je la pénètre à nouveau. Marie badigeonne mon cul et pénètre un, puis deux doigts dans mon fondement. Je mimmobilise, planté dans la chatte de la brune et jattends.
Avant de pointer son sexe en silicone, Marie qui est dans son « trip» en profite pour me fesser.
« Je vais tapprendre petit salaud ! Tu vas voir ce quune gouine est capable de faire !
Dis-donc ça a lair dû lui plaire ton traitement il bande fort
En plus tu aimes la fessée ! Tu sais que je taime de plus en plus toi ?
Je sens maintenant le bout du gode qui se pose sur ma rondelle. Je me relâche au maximum et Marie senfonce dans mon cul « Mais ça rentre tout seul la dedans !
La bite artificielle se fraie le passage et en deux ou trois fois je me retrouve complètement embroché. Je me remets en mouvement provoquant les aller et retour du gode. Pris en sandwich entre les deux femmes. Cela ne dure pas longtemps. Coincé comme je suis, je ne peux que subir lassaut de Marie. Je nexiste que comme trait dunion entre leurs sexes. Fiché dans celui de Nadia, pénétré par le gode. Je ne me plains pas au contraire je jouis en permanence sous la pénétration brutale et profonde.
Marie est inépuisable et je perds la conscience du temps. Mon cul me brûle ma bite et mes couilles sont douloureuses, mais je ne changerais pour rien au monde.
Enfin, Marie arrête sa sodomie et se retire de mon anus douloureux. Elle aussi a fait beaucoup defforts. Elle se couche sur le côté, me libérant de son poids et de son étreinte. A mon tour je bascule et me retrouve entre les deux femmes. Il nous faut un long moment pour nous remettre de ce moment de baise intense.
Les draps, les corps et la chambre empestent la transpiration. Malgré le froid extérieur jouvre un peu la fenêtre pour changer lair. Jen profite pour remplir une bouteille deau et en propose aux deux femmes.
« Dis donc mon salaud ! Tu as bien aimé te faire enculer ! Je ne pensais pas ça de toi !
Oh, tu sais, beaucoup dhommes aiment ça sans être homo. Quand on a essayé cest très bon !
Je sais ! Tu te rappelles le gars avec qui jétais un moment ?
Oui ! Jusque là, je te pensais gouine exclusive !
Javais eu quelques rares expériences avec des garçons mais ça faisait longtemps et je navais plus de relation avec les hommes.
Il a eu de la chance alors ! Comment a-t-il fait ?
Ah tu trouves ! En fait, tu es le premier homme qui me baise vraiment depuis
trente ans !
Je
Mais alors
Il faisait quoi ?
Si jai un gode ceinture, cest que je men sers avec ma chérie et elle aussi dailleurs, mais en fait, cest lui qui me la acheté pour men servir
sur lui ! Comme toi il aimait se faire enculer. En fait, il naimait que ça ! Il ne jouissait que comme ça ! Jamais il ne ma baisée. Comme il nosait pas le faire avec un homme, nous avions trouvé ce moyen pour être en couple et paraître
normaux ! Ça arrangeait tout le monde. Lui, qui passait pour un mec « normal » qui avait une femme et moi quon ne considérait plus comme une gouine et que lon nhésitait plus à embaucher, parce que cétait un vrai frein !
Et comment faisais-tu avec
Maïté ?
Maïté ? Demande Nadia.
Oui, cest sa copine de toujours.
Ah ! Je ne savais pas
Ne tinquiète pas ajoute Marie.
Tu es chou ma belle ! Moi qui te croyais timide, tu as quand même une vie de folie !
Oh ! tout de même, ce nest pas si terrible que ça !
Enfin ! Vivre avec un mec et uniquement le baiser pour se fabriquer une façade « acceptable publiquement » ! Dire à ton amie que tu baises avec un homme et lexciter avec ça !
Il se trouve quelle le connaît aussi. Et encore, tu sais que ce salaud lui a promis de la retrouver dimanche soir, de nous regarder baiser toutes les deux et bien sûr de participer
En plus si tu encules ce salopard devant elle, je crois quelle va adorer ! Elle savait pour lautre ?
Oui ! Cest elle qui me la présenté. Elle connaissait son
travers. Comme à cette époque-là elle avait un mec alibi, elle me la refilé !
Vous êtes terribles vous deux ! Dis-je alors.
Tu te rappelles quà cette époque, être gouine nétait pas bien vu. On cherchait à se fondre dans la masse et le meilleur moyen était dêtre avec un mec.
Toi tu en as trouvé un spécial tout de même ! Je naurais jamais cru ça de lui !
Moi non plus je naurais jamais cru que tu aimes te faire enculer. Mon petit pédé !
Oui, mais moi je te baise aussi et je tencule ! Si on doit continuer, en tout cas ne te gênes pas ! En attendant les filles, moi je suis vraiment crevé ! Alors si vous voulez continuer ce sera sans moi ! »
Marie a retiré la capote qui couvrait le sexe factice et les deux femmes reprennent leurs jeux de lesbiennes. Je tente bien de les regarder un peu mais entre mes exploits avec Floriane dans la cave et ceux avec mes deux compagnes de chambres mont « vidé » et je mendors.
Ce nest que tard dans la matinée que je me réveille. Je suis seul dans la chambre. Je passe sous la douche qui je finis de me réveiller. Jai faim !
Je termine de mhabiller quand Marie et Nadia entrent dans la chambre. En fait elles sont allées se doucher chez cette dernière pour ne pas me réveiller. Le service du petit déjeuner étant terminé, nous allons dans un bar non loin de la résidence. Notre entrée ne passe pas inaperçue. Létablissement est fréquenté par les membres du club organisateur qui ont fini de nettoyer le site et qui nous accueillent avec éclat. Eux sont à lapéritif mais en nous voyant dévorer les viennoiseries avec jus dorange et café ils se marrent et on devine des bribes de phrases dans lesquelles nos exploits de la nuit sont relatés, sûrement des confidences de Marcel !
Peu nous importe ! On les interroge pour connaître la région et les sites intéressants à visiter. Un jeune qui dévore Marie des yeux se joindrait bien à nous pour nous guider mais les autres le chambrent tellement quil renonce timidement.
Nous passons chercher Marcel et partons visiter larrière pays varois dont les villages sont magnifiques. Je tente de le « rattacher » à notre groupe malgré la complicité qui sest ment créée entre les deux femmes et moi. Lorsque nous nous baladons, Marie et Nadia nhésitent pas à se tenir par la main, ou par la taille, et même à sétreindre et sembrasser ce qui me permet de la jouer « entre hommes » en montrant leur complicité à Marcel. Il se déride peu à peu.
Après lapéritif et le repas dans une pizzeria, alors que les femmes visitent la petite église, il me déclare :
« Je me demande comment tu as fais pour baiser cette gouine !
Elle nest pas complètement gouine mais elle a trouvé une femme à son goût. Comme je suis parti de ta chambre parce que tu ronfles comme un goret, loccasion a fait le larron. Mais comment ça se fait que tu nen ais pas profité toi ? Tu étais bien allé dans sa chambre ?
Cest
Je nai pas pu !
Ça arrive tu sais.
O
Enfin... Moi, ça marrive depuis longtemps ! Je pensais quavec elle
Elle ta jeté ?
Non, même pas ! Je
ne pouvais pas
tu vois
Ok, ok ! Tu ne men veux pas de men être occupé alors ?
Non, bien sûr ! Je râle contre moi. Je ne lui en veux pas non plus à elle.
Cest très bien. On était un peu gênés par rapport à toi tu sais.
Cest réglé. De toute façon, maintenant elle est avec lautre.
Euh
Pas tout à fait !
Quest-ce que tu veux dire ? Tu continues quand même avec elle ?
Enfin
Avec les deux, oui !
Ben mon salaud !
Enfin, profites en bien !
Pas de problème ! »
Les deux femmes reviennent et interrompent notre conversation. A partir de ce moment-là, Marcel retrouve son allant et redevient un compagnon agréable. Marie sen étonnera et au retour, jexpliquerai la raison du changement dattitude de notre compagnon.
Le soir, nous devons dîner chez des amis. Nadia, qui nest pas invitée, ne veut pas déranger aussi les femmes décident de passer la soirée ensemble. Nos amis pensaient bien quelles seraient de la soirée et sont désappointés. Marcel se la joue très au fait et leur déballe la « relation » des deux femmes en révélant à ceux qui navaient pas encore compris, leur homosexualité. Certains en font des gorges chaudes pour cacher leur déception et nous gratifient de réflexions sexistes et graveleuses. Dautres font ceux qui savaient. Tout en riant je leur déclare que « de toute façon elles sont majeures et vaccinées et quelles font ce quelles veulent avec leur cul » ce qui me vaut le soutien des deux femmes de lassemblée. Je cache à tous et demande discrètement à Marcel de le faire aussi quelles ne sont pas aussi hostiles quils peuvent croire à la gent masculine. Cela permettra aux deux femmes davoir la tranquillité tout le séjour et même la sympathie des autres femmes, soulagées que leurs hommes ne puissent « batifoler ».
Le mardi et le mercredi, Nadia et Marie vont visiter le pays alors que nous préparons la course. Le soir je les retrouve dans la chambre de Marie pour nous « amuser ». Une sorte de rituel sinstalle. En effet elles adorent de mettre en soixante neuf et que tour à tour je prenne celle qui se trouve dessus. Nadia nest pas une habituée de la sodomie, aussi Marie qui lui en a vanté lagrément, me demande denculer son amante alors quelle bouffe son clito.
Les deux femmes me gratifient aussi du spectacle de leurs deux corps imbriqués chatte contre chatte dans la position paraît-il préférée des gouines. A genoux au dessus delles je distribue caresses et baiser sur leurs corps brûlants.
Jai droit aussi de me faire sodomiser par Marie qui adore ça et qui convainc Nadia de séquiper elle aussi pour « baiser » ce salaud qui nous fait jouir et nous a fait nous rencontrer. Elles savent que leur aventure a peu de chance de se renouveler, aussi en profitent-elles au maximum
et moi aussi
Le jeudi elles se joignent à nous. Marie doit tout de même justifier sa venue. Du coup, les deux femmes participent à lorganisation. Nadia découvre lautre volet dune course. Elle qui la vit toujours sur la route à contrôler le bon déroulement, se rend compte de lénorme travail préparatoire. Elle nous est aussi dune aide précieuse pour quelques détails réglementaires et est adoptée dès lors par tout le monde.
Le lendemain, veille de la course, nous déménageons toute lorganisation dans la ville voisine où se déroule la compétition. Nadia, de part sa fonction ayant une chambre à disposition, cela soulage lorganisateur qui navait pas prévu Marie. Les deux femmes vont la partager ce qui ne surprend plus personne. Comme elles se sont occupées de lhébergement, ma chambre est voisine de la leur et est même communicante.
A notre arrivée, une surprise nous attend. La femme de Marcel est venue en compagnie des deux autres amis qui sont venus travailler avec nous en renfort. Par chance cest moi qui la vois en premier. Pour dédouaner Marcel, lorsquelle découvre Marie, je linforme que celle-ci est venue retrouver son amie Nadia. Comme Alice, la femme de Marcel, connaît les murs de Marie, elle ne se méfie pas ! Je lui signale que celle-ci va dailleurs rentrer avec nous car son amie repart ailleurs.
Je méclipse un moment pour prévenir Marcel de larrivée de sa femme, ainsi il va pouvoir abonder dans mon sens. Je briefe aussi les amis venus avec Alice. Ceux-ci ayant utilisé la voiture du club, je rentrerai avec et prendrai Marie avec moi. Eux rentreront avec Marcel et sa femme.
Bref, tout se déroule parfaitement dautant que jai demandé aussi à mes deux maîtresses daccen leur côté lesbiennes qui finalement plaît à tout le monde.
La veille au soir de la course un repas traditionnel réuni tout le monde : organisateurs, sponsors publics et privés, les arbitres dont fait partie Nadia, les journalistes, le staff technique ainsi que quelques grands noms du cyclisme y sont invités.
Quand jarrive en compagnie des deux femmes et de Marcel, nous ne passons pas inaperçus ! Il faut dire que les deux femmes ont revêtu pour loccasion de superbes atours !
Quand je les ai retrouvées dans leur chambre, jai eu la même réaction que les invités à notre arrivée. Deux bombes ! Nous avions passé la fin daprès-midi à baiser et je les avais laissées se préparer pour aller mhabiller dans ma chambre. Les réceptions de veille de course sont toujours « classe » Javais donc revêtu costume et cravate, douché et rasé de frais, il fallait faire honneur à nos amis organisateurs.
Durant la semaine, les deux lesbiennes avaient fait des achats en prévision de la soirée. Surtout pour Marie qui est éternellement chaussée de baskets et porte toujours un pantalon.
Le tableau que je découvre alors est tout autre ! Nadia et Marie sont vêtues dune longue robe fourreau noire dévoilant leurs épaules. De face, la vue paraît sage mais de dos ! Du cou autour duquel passe une bretelle, au bas des reins, la peau est nue et la tenue montre labsence de soutien-gorge. Certes, la poitrine de Nadia est plus lourde que celle de Marie mais les tétons de cette dernière pointent de façon obscène à travers le tissu. Sur la peau blanche de Marie comme sur celle cuivrée de la commissaire leffet est sidérant.
Toute la soirée elles seront lobjet de discussions, de frôlement, de félicitations. Les hommes bandent comme des fous, même et surtout ceux qui connaissent leur orientation sexuelle maintenant de notoriété publique. Les femmes, peu nombreuses et jalouses au départ, sont vite séduites en voyant les deux bombes repousser les avances de leurs hommes. Lorsque la soirée savance et que lon passe à la danse, elles sont bien sûr sollicitées. Si Marie décline toute invitation. Dune part elle naime pas danser mais en plus elle nest pas habituée aux chaussures à talon achetées avec Nadia.
La commissaire fait un tabac car il se dégage une sensualité folle de son corps lorsquelle danse. Les partenaires se succèdent, je parviens même à danser un tango torride avec elle et elle vole de bras en bras.
Il est presque minuit lorsque nous rentrons. Le lendemain le lever sera très matinal aussi je décide de dormir seul. Je laisse les femmes entre elles dans la chambre de Nadia.
Pendant la course Marie a obtenu une place dans la voiture de sa chérie. Je m'occupais de la répartition et avec l'aval de l'organisateur, il n'y a pas eu de problème. Elle découvre cette fonction d'arbitre et y prend goût. Elle sinscrira et obtiendra ses diplômes par la suite ce qui lui permettra de suivre son amie sur les courses. Le binôme deviendra « célèbre » dans le monde cycliste lorsque Nadia deviendra présidente de jury et demandera de lui adjoindre Marie, mais nous nen sommes pas encore là.
Le samedi soir est le dernier entre les deux femmes. Lémotion est palpable et nous faisons lamour tard dans la nuit mais de façon calme.
Pour le retour, je me retrouve finalement seul en voiture avec Marie. Les adieux avec Nadia sont longs et douloureux. Je lui promets de la demander comme arbitre afin quelle puisse venir retrouver Marie. Les autres nous attendant je parviens à les décider en échangeant après Marie, un baiser torride avec Lydia sur le trottoir devant lhôtel à la grande surprise des derniers organisateurs persuadés de lhomosexualité exclusives des deux femmes.
Le début du voyage est silencieux et pesant. Petit à petit et après la pause-déjeuner, Marie sort de sa léthargie. Le rappel des retrouvailles avec sa chérie, qui est au courant de laventure, lui redonne du baume au cur. Elle est cependant un peu inquiète car elle la « trompée » avec une autre femme
et un homme ! Je la rassure en lui disant quau téléphone elle ne semblait pas en colère et que de toute façon elles vivaient une relation assez libre.
Avant darriver Marie expédie un message à Nadia qui la rappelle. Les deux femmes se disent des mots damour et sembrassent longuement.
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